Que j’ai
dû vous décevoir ! Lundi je proclamais, du haut de ma chaire, que cette semaine
j’écrirais au féminin seulement et à peine 24 heures plus tard, j’étais de
retour avec un « invité(e)s »
dans mon texte. Je comprends bien que cette dérogation va fesser au plus
profond de ma crédibilité mais enfin, veillez pardonner ce petit laps de ma
part mes sœurs. La seule excuse que je peux vous offrir, à genoux et en sanglotant,
c’est que j’avais partagé le lien au blogue avec la communauté entière du
camping lac vert et qu’eux n’était pas au courant de mes états d’âne.
Pendant que je porte mes
habits de sacerdoces, j’aimerais vous entretenir sur un sujet qui me concerne.
Mais avant, veillez excuser l’écho écho écho que vous entendez, cela vient
du nouveau système de son installé dans le temple temple temple.
Quand je ramasse nos pépinnes,
je me promène avec une chaudière où je dépose pleins de déchets abandonnés que
je ramasse sur nos chemins. J’en ramasse une chaudière pleine à chaque fois. Il
y a une solution très simple à ce fléau : Ne pas jeter de déchets à
terre, il fallait juste y penser, n’est-ce pas ?
C’est sûr que celles qui
suivent le blogue ne font pas ça, mais des fois je me pose des questions sur
certaines.
Ça arrive que je me promène et
je vois un détritus sur un terrain, parce que je suis vieux et que je m’entraine
à devenir plus haïssable, je ne le ramasse pas.
La semaine suivante, le
détritus est toujours là, je sais que pendant la fin de semaine, les gentes
étaient là mais elles n’ont pas ramassés leur pas-si-propres déchets. Je
continu mon chemin et ne le ramasse pas, question de faire une expérience.
Trois semaines plus tard, je
suis à bout de nerf, je ne peux pas résister, j’ai même dû augmenter ma
médication pour les nerfs, et je ramasse l’osti de verre rouge fluo pour les
non-voyantes habitants les lieux !
Ça vous achales-tu vous autres
ou c’est juste moi ?
Richard
Gourou
